Avec le PSOE, affrontons notre passé!
Le Parti Socialiste Ouvrier Espagnol, parti politique espagnol de courant centre gauche social-démocrate, a été fondé clandestinement à la fin des années 70 par Pablo Iglesias autour d’un noyau d'intellectuels et d'ouvriers en quête d’émancipation et de reconnaissance. Quel lien avec la mémoire historique ? C’est ce que nous allons voir.
Faut-il ou non affronter les fantômes de son passé ?
Société libre, égalitaire, solidaire et surtout en paix... Telle est l’idéologie du PSOE. C’est pourquoi les socialistes, après un silence complice durant la transition, ont ensuite décidé d’agiter un passé espagnol sulfureux en faisant émerger une politique mémorielle en 2007. Pourquoi ? La réponse est simple, et les mots clés sont : respect, reconnaissance et extension des droits et de rétablissement des moyens en faveur de tout ceux qui ont souffert de persécution ou de violence durant la Guerre civile et la Dictature. Aller de l’avant, comprendre son passé, remédier aux atrocités commises, aux silences partagés et aux décisions collectives détournées... Telle est leur manière de percevoir la mémoire historique espagnole dans le but de redécouvrir une identité nationale collective trop longtemps tombée dans le cercle vicieux de l’oubli volontaire.
Et pourtant, plus de 40 ans après la mort de Franco, son héritage continue de diviser l'Espagne, tiraillée entre des familles de victimes en quête de reconnaissance et des nostalgiques du régime. En réalité, la question du devoir de mémoire est depuis toujours un terrain miné que ce soit pour le PSOE ou le PP, les deux acteurs historiques du bipartisme espagnol. La véritable question est : est-ce que la société politique espagnole parviendra-t-elle un jour à un consensus collectif ? Encore faudrait-il le vouloir.
Et si nous refaisions un peu plus un bon dans le passé ? A vous de lire notre prochain article pour en savoir plus !
Sources :
• http://www.psoe.es/propuestas/memoria-historica/
• http://www.rtve.es/noticias/20180615/psoe-anuncia-reforma-ley-memoria-historica-para-sacar-restos-franco-del-valle-caidos/1751440.shtml
• Mes connaissances des cours de civilisation espagnole effectués à l’Université
Société libre, égalitaire, solidaire et surtout en paix... Telle est l’idéologie du PSOE. C’est pourquoi les socialistes, après un silence complice durant la transition, ont ensuite décidé d’agiter un passé espagnol sulfureux en faisant émerger une politique mémorielle en 2007. Pourquoi ? La réponse est simple, et les mots clés sont : respect, reconnaissance et extension des droits et de rétablissement des moyens en faveur de tout ceux qui ont souffert de persécution ou de violence durant la Guerre civile et la Dictature. Aller de l’avant, comprendre son passé, remédier aux atrocités commises, aux silences partagés et aux décisions collectives détournées... Telle est leur manière de percevoir la mémoire historique espagnole dans le but de redécouvrir une identité nationale collective trop longtemps tombée dans le cercle vicieux de l’oubli volontaire.
Et pourtant, plus de 40 ans après la mort de Franco, son héritage continue de diviser l'Espagne, tiraillée entre des familles de victimes en quête de reconnaissance et des nostalgiques du régime. En réalité, la question du devoir de mémoire est depuis toujours un terrain miné que ce soit pour le PSOE ou le PP, les deux acteurs historiques du bipartisme espagnol. La véritable question est : est-ce que la société politique espagnole parviendra-t-elle un jour à un consensus collectif ? Encore faudrait-il le vouloir.
Et si nous refaisions un peu plus un bon dans le passé ? A vous de lire notre prochain article pour en savoir plus !
Sources :
• http://www.psoe.es/propuestas/memoria-historica/
• http://www.rtve.es/noticias/20180615/psoe-anuncia-reforma-ley-memoria-historica-para-sacar-restos-franco-del-valle-caidos/1751440.shtml
• Mes connaissances des cours de civilisation espagnole effectués à l’Université
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